Quarante roses… au parfum de scandale
Critique écrite par Henri-Charles Dahlem le 8 février 2016
Littérature Roman
Quand Marie se réveille, le 29 août, elle peut admirer le paysage qui s’offre sous ses yeux, le lac et les montagnes que la brume estompe encore. Elle peut se réjouir par anticipation, car elle sait qu’en ce jour son mari lui fera livrer quarante roses pour son anniversaire. Un rituel qui s’est… Lire la critique 
Après La Reine de la Baltique (2013) et Du sang sur la Baltique (2014), voici la troisième traduction française des cinq tomes déjà parus mettant en scène met en scène l’inspecteur Andreasson et l’avocate Nora Linde. On peut rassurer d’emblée les inconditionnels de Viveca…
Enquête parmi des lesbiennes qui ne se la jouent pas vertueuses et des lycéennes bi qui se font des lignes sur leur cahier de textes. Monde d’adultes difficiles à supporter : des gens tellement hypocrites que « Tout ce qu’il faut bouffer de merde, ils l’avalent sans rechigner » (Page 308)…