Critique écrite par Boudzig Lecteur sympa le 21 mai 2012
(15 votes, moyenne: 4,47 / 5) Loading...
Psychologie Roman Sexualité
Sex et Love addicts
Lucia Extebarria
Traduit de l’espagnol par Nicolas Véron
Editions Heloise D’Ormesson
9782350871325
Plongée dans le monde du show-biz underground….
L’univers très particulier de Lucia, va vous entrainer dans le monde du show-biz, un leader de groupe charismatique…
Lire la critique
Critique écrite par hannibalhive le 8 avril 2012
(12 votes, moyenne: 4,58 / 5) Loading...
Essais Roman Sexualité
Les sexes ne s’entendent pas vraiment. Surtout, justement, en matière de sexe. Voilà un postulat autour duquel nombre d’entre nous pourraient aisément s’accorder. Mais s’il semble que les désaccords qui animent les sexes soient une caractéristique propre à toutes les espèces, cela…
Lire la critique
Critique écrite par bruno chauvierre le 22 octobre 2011
(60 votes, moyenne: 4,75 / 5) Loading...
Roman
Abel Hermant ? Qui s’en souvient ? Académicien dégradé à la Libération. Auteur d’un livre dont le héros se fait violer par la chambrée. Il répétait constamment « à la dragonne, à la dragonne, à la dragonne » en souvenir d’un chef d’œuvre sur des mœurs militaires…
Lire la critique
Critique écrite par bruno chauvierre le 30 septembre 2011
(27 votes, moyenne: 4,67 / 5) Loading...
Essais Psychologie Sexualité
Notre connaissance est cernée par les murs de l’ignorance. Oui, à Sainte-Anne, comme dans notre plumard on est enfermé comme des oufs si on ignore ce qui préoccupe notre partenaire. N’enfermez pas votre sexualité entre les murs de votre chambre. sortez de votre narcissisme.…
Lire la critique
Critique écrite par sln le 4 janvier 2008
(16 votes, moyenne: 3,75 / 5) Loading...
Roman
Le roman est découpé en dix chapitres dont les titres plus ou moins énigmatiques (« Le ciel à marée haute », « Naître du même sexe », « Le trouble des débuts », « Sortir en famille », « L’effort de guerre », « Un chat un chat », « La vie sans Charles », « Le naturel au galop », « La conviction », « Le shooting…
Lire la critique