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V.Llosa ne déroge pas à la règle des grands écrivains : Dès les premières pages du livre on est prisonnier du récit et contraint de lire ce livre jusqu’à la dernière ligne ! peut importe que l’histoire soit extravagante et le héros (l’auteur ?) d’une naïveté amoureuse exemplaire, on va le suivre de Lima à Tokyo en passant par Paris, Londres, Genève ou Madrid avec au passage les réflexions et les souvenirs de l’auteur sur la politique, les arts, les mouvements intellectuels et la vie quotidienne de tous les lieux traversés, des années 50 à nos jours.
Plaisir de lire : on referme le bouquin avec regrets au mot FIN
Étiquettes : critique littéraire, Mario Varga Llosa, Tours et détours de la vilaine fille
