La reine des sortilèges (David Eddings)

Critique de le 2 novembre 2021

Je n‘ai pas aimé...Plutôt déçu...Intéressant...Très bon livre !A lire absolument ! (3 votes, moyenne: 2,33 / 5)
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Roman

Elevé par tante Pol qui va se révéler toute autre que ce qu’il croyait, le jeune Garion est orphelin de père et de mère. Il a perdu ses parents assassinés par un mystérieux inconnu qui a aussi mis le feu à leur maison avant de s’enfuir dans la nuit. Garion n’a plus qu’une idée en tête : retrouver cet individu pour le tuer dès qu’il sera assez grand et assez fort pour y parvenir. Pour l’instant, il reste encore sous la tutelle de tante Pol, alias Dame Polgara et de sire Loup, alias Belgarath, tous deux toujours en quête de l’Orbe volé par Zedar, lequel doit le remettre à Torak qui n’est pas mort, mais simplement endormi. Au fil des incidents et des attaques d’ennemis, Garion se rend peu à peu compte que Polgara et Belgarath sont des personnages hors normes, membre de la noblesse, des immortels doués de pouvoirs spéciaux. Mais lui-même, qui est-il ? D’où vient-il ? Quel est son destin ? Quels sont ses pouvoirs ?

« La reine des sortilèges » est le deuxième tome de la saga de fantaisie « La Belgariade ». L’intrigue ne progresse que fort lentement. Le couple Eddings a beau faire intervenir nombre de roitelets, une reine des serpents nommée Salmissra, des hommes de boue puants et de charmantes Dryades ne supportant pas le moindre feu, il ne se passe pas grand-chose dans cette histoire. Le lecteur apprendra surtout que le héros a pas mal de peine à assumer ses pouvoirs naissants, ce qui, en soi, n’est guère étonnant. Il notera également l’arrivée d’une petite princesse capricieuse. Autant d’éléments nouveaux qui peuvent divertir un jeune public et les amateurs du genre, mais qui risque d’ennuyer les autres. Ça ne décolle pas. On reste dans la soft fantasy, le divertissement quasi commercial. On cherche le souffle épique sans jamais le trouver. N’est pas Tolkien qui veut.

2,5/5

Détails sur La reine des sortilèges (David Eddings)

Auteur : David Eddings

Editeur : Pocket

Nombre de pages : 385

Format : 11X15

La reine des sortilèges (David Eddings)

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