Si tout n’a pas péri avec mon innocence, d’Emmanuelle Bayamack-Tam
Critique écrite par bruno chauvierre le 11 août 2013
Roman
Quand mémère pond un « chiard » affublé d’un bec de lièvre, elle lui donne le prénom de l’accoucheuse : Gladys. Honneur ou insulte ? Réponse quarante ans après dans le bordel où Kim, sa petite fille, fait des passes chez la matrone devenue bordelière. Tout a-t-il péri avec… Lire la critique