Dialogue de vaincus (Rebatet & Cousteau)
Critique écrite le 6 septembre 2019
Questions ouvertes, réflexions
Rebatet
et Cousteau, condamnés à mort en 1945 pour collaboration avec
l’ennemi en raison de leurs articles parus dans « Je suis
partout » ont vu leur peine commuée, par grâce du président
Vincent Auriol, en détention à perpétuité. D’abord détenus à
Fresnes, fers aux pieds et… Lire la critique