Marx

Critique de le 13 septembre 2020

Je n‘ai pas aimé...Plutôt déçu...Intéressant...Très bon livre !A lire absolument ! (Pas encore d'évaluation)
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Histoire

Cette courte et très récente (2013) étude sur Karl Marx du journaliste et écrivain, Nicolas Tandler, est particulièrement intéressante. Car comme pour son « Qui suis-je ? » sur Trotski, l’auteur va droit au but dans la description du personnage de Marx.

Karl Mordechai Marx est né le 5 mai 1818 à Trèves en Rhénanie (région d’Allemagne). Comme pour Lénine et Trotski, plus tard, il existe une paradoxale contradiction entre l’Idéologie Totalitaire de « classe » et la réalité des origines familiales ; puisque Marx est issu d’une famille « bourgeoise » et fortunée. En effet, son père Heinrich Marx comptait parmi la centaine de fortunes les plus importantes de Trèves. La première pathologie de tous ces théoriciens et praticiens Terroristes est donc la schizophrénie. Cette pathologie n’est évidemment pas la seule car viennent se rajouter : le fanatisme, la psychopathie, la mégalomanie, le mépris pour la vie humaine (cette ignoble pathologie doit bien porter un nom médical !), la paranoïa. Et j’en passe…

Mais revenons à nos moutons.
Jusqu’à son mariage avec Jenny von Westphalen, le 19 juin 1843, Karl Marx vivait aux crochets de ses parents. Son père déjà décédé, sa mère ne vint même pas à son mariage. Les relations familiales s’étaient déjà considérablement détériorées…
À cette époque, il vivotait et commençait à écrire notamment sur son ex-maître à penser : Hegel.
Marx, d’origine Juive décida alors, par Idéologie, de fustiger la religion à travers des formules cinglantes, telles que (page 29) :
« La religion n’est que le soleil illusoire qui gravite autour de l’homme tant que l’homme ne gravite pas autour de lui-même. »
Et encore, la plus célèbre d’entre-elles (toujours page 29) :
« [La religion] est l’opium de peuple ».
Selon l’excellente expression de Nicolas Tandler : L’ »athéisme de combat » deviendra l’une des composantes principales du Marxisme.

C’est en août 1844 à Paris, que Karl Marx fit la connaissance d’un certain Friedrich Engels. Ce dernier était le fils d’un industriel du textile. Décidément, tous ces grands « penseurs » du Communisme ont plus de choses à voir avec l’intelligentsia et la « bourgeoisie », qu’ils veulent exterminer ; qu’avec le « prolétariat » qu’ils ne connaissent absolument pas, et que de loin…
Engels ne se cachait pas d’être antisémite. Quant à Marx, il méprisait la Religion et avait, lui aussi, plus que des penchants pour le racisme. Ce binôme de théoriciens du Communisme devait perdurer jusqu’à la mort de Marx en 1883.
Eh oui ! Marx et Engels étaient racistes. D’ailleurs, voici, entre autres, deux citations plus que significatives : parlant de Ferdinand Lassalle (qu’il détestait), Marx écrivait de lui (page 72) :
« Le juif est l’ennemi du genre humain. Il faut envoyer cette race en Asie ou l’exterminer. »
Toujours à l’encontre de Lassalle, il écrivit l’infâmante phrase suivante, à Engels, le 30 juillet 1862… (page 79) :
« Il est tout à fait évident que du fait de la forme de sa tête et la manière dont sa chevelure pousse, [Lassalle] descend de nègres qui se joignirent à Moïse au cours du voyage de la sortie d’Égypte, à moins que, peut-être, sa mère ou sa grand-mère aient eu des relations avec un nègre. »
Après son mariage, Marx vivait toujours une vie de bohème. Ses maigres revenus étaient toujours insuffisants pour faire vivre sa famille. Alors Marx se faisait financer, entre autres, par la branche Philips (future multinationale…, un comble !) du côté de sa mère ; et par la mère de son épouse.
En cette année 1844, Marx et Engels concoctèrent une théorie : le Socialisme Scientifique (page 36) :
« Dans sa correspondance, ses brouillons, ses articles, ses brochures polémiques, Karl Marx, dorénavant inséparable de Friedrich Engels, a jeté les grandes lignes, et parfois les éléments de détail, d’une doctrine qu’il n’arrêtera plus de compléter, et qui portera donc son nom : le marxisme. »
Puis, Marx développa le concept de matérialisme historique, qu’il résume de la façon suivante (page 39) :
« Les hommes font leur propre histoire », mais « ils ne la font pas au gré de leur initiative ni dans des circonstances librement choisies ». Par conséquent, ils ne font pas ce qu’ils veulent, et pire encore, ils ne sont pas conscients de ce qu’ils font. »
Qui plus est, pour Marx, l’infrastructure économique supplantait la superstructure Idéologique (page 40) :
« Ce n’est pas la conscience des hommes qui détermine la réalité, c’est au contraire la réalité sociale qui détermine leur conscience. »
Nicolas Tandler nous résume alors les conséquences qu’engendre le matérialisme historique (pages 40 et 41) :
« Trois conséquences « pratiques » du matérialisme historique pour le combat marxiste. D’abord, l’action indirecte sur les idées. Il faut agir, non pas sur la superstructure idéologique, mais sur l’infrastructure économique. Ce qui signifie qu’il ne faut pas chercher à combattre les idées, à convaincre, mais à transformer le système de propriété, ou à remplacer les détenteurs des biens, ce qui influe sur les rapports de production, donc sur l’infrastructure, et détermine la victoire.

Ensuite, il ne faut pas se laisser subjuguer par les « valeurs morales », l’ »humanitarisme », etc. On peut se servir de telles notions, à condition de ne pas oublier qu’il s’agit d’une sorte de décoration.
En définitive, tout ce qui vient d’être exposé relève de l’inéluctable, de la prédétermination, en un mot, du déterminisme. Raisonner en marxiste, quelle que soit la tendance (communiste, sociale-démocrate, voire libérale), c’est se sentir sûr de la victoire, puisqu’elle découle de l’évolution obligatoire du monde. Et de la science, puisque socialisme scientifique il y a. La définition de la doctrine est énoncée aux ignorants de deux manières. L’une, tronquée : « Le socialisme scientifique, c’est l’appropriation collective des grands moyens de production. » Voilà qui paraît peu inquiétant ? la phrase complète contient une portée bien plus vaste, en fait, totale : « Le socialisme scientifique, c’est l’appropriation collective des moyens de production et d’échange. » L’adjectif grand a disparu, les Khmers rouges en conclurent qu’il importait de détruire filets de pêche et machine à coudre, instruments, permettant d’en venir à « l’accumulation primitive du capital ». Et l’échange implique absolument tous les domaines de la vie humaine. Vaste sujet de réflexion.
À cet édifice, dressé au milieu de la décennie quarante du XIXe siècle, Marx et Engels ajouteront « la lutte des classes » (ils l’exprimeront de la manière la plus percutante dans le Manifeste communiste), le matérialisme dialectique, développé à partir de Hegel, puis rendu autonome, et la théorie de la valeur et de la plus-value. Ces thèmes vont défiler à leur place. »
Au début de 1846, Marx créa, avec son acolyte Engels, le premier Parti Communiste, nommé : Ligue des Communistes. De même que ses disciples Totalitaires Communistes reprendront l’une de ses expressions favorites, méprisantes et condescendantes, celle de : « petit-bourgeois ».
Le premier grand écrit de Marx et Engels fut donc : « Le Manifeste Communiste », en novembre 1847.
Ce Manifeste comporte quatre parties. La phrase d’introduction du livre paraissait déjà, à l’époque, particulièrement intrigante et menaçante : « Un spectre hante l’Europe : le spectre du communisme ». Aujourd’hui, rétrospectivement, on sait malheureusement, que cette menace était bien réelle et qu’elle a été mise à exécution par l’immensité des Crimes du Totalitarisme Communiste, depuis Octobre 1917, aux quatre coins de la planète.
La première partie du Manifeste développe le concept de la « lutte des classes » et s’intitule « Bourgeois et prolétaires » (page 49) :
« L’histoire de toute société jusqu’à nos jours est l’histoire de luttes de classe. »
Cette pensée foncièrement haineuse et primaire engendre automatiquement, pour Marx, le principe de Révolution, de combat et donc de Guerre Civile (pages 49 et 50) :
« Homme libre et esclave, patricien et plébéien, baron et serf, maître de jurandes et compagnon, bref oppresseurs et opprimés, en opposition constante, ont mené une lutte ininterrompue, tantôt ouverte, tantôt dissimulée, une lutte qui finissait toujours soit par une transformation révolutionnaire de la société tout entière, soit par la disparition de deux classes en lutte. »
(…) « Cependant, le caractère distinctif de notre époque, de l’époque de la bourgeoisie, est d’avoir simplifié les antagonismes de classes. La société entière se scinde de plus en plus en deux vastes camps ennemis, en deux grandes classes qui s’affrontent directement : la bourgeoisie et le prolétariat. »
Il conclue cette première partie de manière tout aussi radicale (page 51) :
« La bourgeoisie produit avant tout ses propres fossoyeurs. Sa chute et la victoire du prolétariat sont également inévitables. »
La seconde partie du Manifeste s’intéresse aux « Prolétaires et communistes ». Lénine et Trotski, un peu plus tard, estimeront de manière très condescendante, comme Marx, que les Communistes représentent une « élite intellectuelle », une « avant-garde » qui croit détenir la Vérité Absolue. Par conséquent, les Communistes se sont fixés comme objectif de guider la « classe prolétarienne », incapable qu’elle est, selon eux, de réfléchir par elle-même, et ignorante de ses intérêts…, de « classe » (page 51) :
« Sur le plan de la théorie, ils ont sur le reste du prolétariat l’avantage d’une intelligence claire des conditions de la marche et des résultats généraux du mouvement prolétarien. »
Pour Marx, l’objectif de domination de la « classe prolétarienne » est clairement défini (toujours page 51) :
« Le but immédiat des communistes […] : constitution du prolétariat en classe, renversement de la domination bourgeoise, conquête du pouvoir politique par le prolétariat ».
On trouve chez Marx et les Communistes un autre dogme intangible faisant partie de l’Idéologie Communiste, celui concernant l’abolition totale de la propriété privée (page 52) :
« Les communistes peuvent résumer leur théorie dans cette formule unique : abolition de la propriété privée ».

(…) « La famille bourgeoise s’évanouit naturellement avec l’évanouissement de son corollaire, et l’une et l’autre disparaissent avec la disparition du capital. »
Or, abolir la propriété privée revient à supprimer la Liberté individuelle. La tragique réalité des faits le démontrera dans tous les régimes Totalitaires Communistes à travers le monde : en U.R.S.S., en Chine, au Cambodge, etc..

Son programme en dix points pour prendre le Pouvoir, comporte les germes Terroristes et Totalitaires du Communisme (pages 52 et 53) :
« Le programme de dix mesures à mettre en œuvre à la prise du pouvoir comporte l’ »abolition du droit d’héritage » (point n°3), le « travail obligatoire pour tous ; organisation d’armées industrielles » (point n°8) ; « Éducation politique et gratuite de tous les enfants » (point n°9), etc., étant précisé : « Cela ne pourra se faire, naturellement, au début, que par une intervention despotique dans le droit de propriété… » Marx avoue aussi qu’elles auront, ces mesures, un caractère « insoutenable ».
Au terme des deux autres chapitres, Marx conclut dans une apothéose déclamatoire à caractères Terroriste et Totalitaire (page 53) :
« Les communistes se refusent à masquer leurs opinions et leurs intentions. Ils proclament ouvertement que leurs buts ne peuvent être atteints que par le renversement violent de tout l’ordre social passé. Que les classes dirigeantes tremblent devant une révolution communiste ! Les prolétaires n’ont rien à y perdre que leurs chaînes. Ils ont un monde à gagner. PROLÉTAIRES DE TOUS LES PAYS, UNISSEZ-VOUS ! »
Marx renouvelle à nouveau un engouement immodéré pour la violence dans son livre : « Critique de la philosophie hégélienne du droit » (page 53) :
« L’arme de la critique ne peut en tout état de cause pas remplacer la critique des armes, la violence matérielle doit être renversée par la violence matérielle […]. »

Il ira encore plus loin fin 1848 :

« Il n’y a qu’un moyen de raccourcir les douleurs d’agonie meurtrière de la vieille société, et les sanglantes douleurs d’accouchement de la nouvelle société, de les simplifier et de les concentrer, un moyen unique – le terrorisme révolutionnaire. »
Nicolas Tandler précise même que, jusqu’à la fin de sa vie, Marx persista dans cette volonté Terroriste, prônant également la menace de mort personnalisée. Marx considérait donc le Terrorisme comme nécessaire puisqu’il était, pour lui, un : « mode d’action historiquement inévitable ».

Quant à l’analyse du matérialisme dialectique, Marx se fonde sur le principe antagoniste du binôme ami/ennemi, c’est-à-dire « prolétariat/bourgeoisie ». Ce binôme que Marx s’obstine fanatiquement à concevoir obligatoirement comme une opposition radicale, doit finir dans l’extermination de l’une de ces deux « classes ». Dans ce manichéisme obsessionnel de Marx, la « classe » prolétaire doit évidemment finir par détruire la « classe » bourgeoise. Émergerait alors une société nouvelle, intégralement « prolétarisée » ! Nicolas Tandler précise que… (page 55) :
« Sur le plan pratique, le matérialisme dialectique, adaptable à tous les domaines, se traduit par l’exploitation des contradictions. Avec une efficacité redoutable. Il est vrai que la technique peut se retourner contre ses utilisateurs et, de ce point de vue, la fin de l’Union soviétique représente un très beau cas d’école. »
Marx et Engels firent diffuser, en Allemagne, dans le journal de propagande du Comité Central de la Ligue Communiste, l’Adresse, la double stratégie suivante… (page 66) :
« (…) il fallait lutter avec les démocrates petits-bourgeois contre la monarchie, tout en les attaquant pour les empêcher de se développer.

« Il ne peut s’agir pour nous […] d’améliorer la société existante mais d’en fonder une nouvelle. »

On lisait aussi dans l’Adresse ces lignes prophétiques au sujet de la propriété foncière devant être confisquée et devenir : « propriété de l’État et [qu’elle] soit transformée en colonies ouvrières que le prolétariat rural groupé en associations exploite avec tous les avantages de la grande culture ».
La définition des futurs kolkhozes et sovkhozes de la Russie soviétique du siècle suivant. »
Depuis qu’ils se connaissaient et jusqu’à la mort de Marx, Engels, grâce à sa fortune familiale subvint toujours financièrement à la famille Marx. Le « maître » pouvait tranquillement poursuivre son « œuvre »…
Marx développa donc ses célèbres théories économiques sur : la valeur travail et la plus-value (ou profit). Bref, au terme de son étude, Marx en déduisit la situation mal définie suivante… (page 77) :
« La conclusion s’exprime par l’antagonisme des intérêts des capitalistes et des travailleurs. Marx établit de la sorte « scientifiquement » le fondement de la lutte des classes ».

(…) Si on suit Marx, la nouvelle société, qui naîtra après l’effacement du capitalisme, échappera aux lois de l’économie. Or, il n’a pu fournir aucune description de son organisation, s’arrêtant à la « période de transition », qui suppose un régime de dictature du prolétariat, afin d’empêcher le capitalisme de survivre ou de réapparaître, ce qui serait anormal, parce qu’il est censé finir de lui-même en société socialiste, puis communiste. Tout se jouera en fait dans la « négation de la négation », entre propriété collective et propriété (ce qui l’individu possède en propre). Grâce au matérialisme dialectique, il n’y aura pas là de problème, du moins pour les spécialistes de l’acrobatie intellectuelle. Et il faut se répéter que le socialisme scientifique revient à l’appropriation collective des moyens de production et d’échanges, à savoir la totalité de ce qui se trouve à la disposition des êtres humains, y compris leur communication. Un sujet infini de réflexion. »
C’est en 1864, à Londres, que Marx fonda l’Internationale.

En 1875, Engels et Marx écrivirent la Critique du programme du Gotha (page 100) :
« Quinze années plus tard, en 1890, Marx mort depuis sept années, la Critique parut sous forme de livre. Elle revêt une certaine importance en raison d’une annonce inédite jusqu’alors de la part du duo, et destinée à revêtir une signification pratique trois décennies après, avec le Russe Lénine :

« Entre la société capitaliste et la communiste, s’étend une période de transformation révolutionnaire de l’une à l’autre. Cela correspond donc à une période de transition politique durant laquelle l’État ne peut être rien d’autre qu’une dictature révolutionnaire du prolétariat ». »
Après de longues années de travail, le premier volume du plus important livre de sa vie, le Capital, fut publié le 2 septembre 1867 ; ouvrage rebutant à lire par les économistes et les profanes, car globalement incompréhensible et rébarbatif. D’ailleurs, Marx fut désespéré de constater qu’il n’intéressa pas grand monde. En effet, il fallut plusieurs années pour écouler les 1 000 premiers exemplaires…
Engels édita le second volume en 1885, après la mort de Marx, et le troisième volume en 1894. Comme Engels décéda en 1895, c’est un autre théoricien Marxiste Allemand, Karl Kautsky, qui se chargea de publier le quatrième volume.

Karl Marx décéda le 14 mars 1883. Il n’y avait que huit personnes à son enterrement, dont Engels qui, bien évidemment, prononça l’éloge funèbre de Marx (page 111) :
« Le plus grand penseur vivant ne pensera plus. Bientôt le monde ressentira le vide laissé par la disparition de ce titan… Son nom et son œuvre vivront dans les siècles à venir. »
Engels ne savait pas à quel point il avait raison en prononçant ces mots.. En effet, 34 ans après la mort de Marx, un certain Vladimir Ilitch Oulianov, plus connu sous le pseudonyme de Lénine, allait réaliser la volonté de Marx en mettant en place, à partir du coup d’État Bolchevique (Communiste) du 25 Octobre 1917, le Parti-État-Unique Communiste fantasmé par Marx, devenu un véritable système Totalitaire Communiste réel, d’abord en Russie, puis à travers le monde, dans le cadre de la 3ème Internationale (Internationale Communiste ou encore Komintern) !
Ce fut le premier système Totalitaire (j’écris bien Totalitaire, et non Dictatorial ou autres… ) au 20ème siècle, voire depuis le début de l’histoire de l’humanité, bien avant l’autre monstrueux régime Totalitaire : le Nazisme, entre 1933 et 1945.

En conclusion :
Dramatiquement, Karl Marx a engendré d’innombrables émules dans le cadre du système Totalitaire Communiste mondial, tout au long du 20ème siècle… À commencer par Lénine et Trotski les deux pseudo-intellectuels qui ont mis en œuvre RÉELLEMENT l’Idéologie Totalitaire Communiste ; inspirés qu’ils étaient, par le théoricien Marx.
Marx possède donc une responsabilité Morale et intellectuelle infinie dans l’hégémonie mondiale de la tragédie du Totalitarisme Communiste réel, au 20ème siècle et encore de nos jours en ce 21ème siècle, dans plusieurs pays : Laos, Chine, Corée du Nord, Vietnam, Cuba, etc..

Détails sur Marx

Auteur : Nicolas Tandler

Editeur : Pardès

Nombre de pages : 128

Isbn : 978-2867144608

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